Nataël, le fils de la boulangère
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Petyr Baelish
Rhaella Velaryon
Nataël
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Nataël
« J'me suis brûlé la pine
Sous les jupes de Corcolline »
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Genealogie
Père : Sam, l'ancien forgeron de Claquepluie: père (✟ - Lune 3, 297)
Mère : Tancelle, la boulangère.
Ryam : le frère d’une autre mère, le fils légitime du forgeron et de sa femme, Milleina
Mère : Tancelle, la boulangère.
Ryam : le frère d’une autre mère, le fils légitime du forgeron et de sa femme, Milleina
Personnalite
On aurait pu qualifié Nataël de « bon gars », si ce n’était le fait qu’il était beau. Ne vous méprenez pas, ce n’est pas une qualité. Le bougre sait qu’il a une belle gueule, qu’il parle bien – pour le fils des boulangers – et qu’il a des doigts habiles. Alors, voilà, il est un brin arrogant, méprisant, cynique. Il n’hésite pas à tricher au carte, à faire des oeillades aux serveuses pour avoir une rallonge gratuite. Et puis, il chante bien aussi, et ça, les filles, elles aiment. Plutôt doué à la flûte, brillant à la harpe. Ceux qui disent que c’est le fils d’un seigneur et pas d’un forgeron n’ont pas eut longtemps à attendre pour voir leur patronyme moqué dans une chanson du même acabit que celle qui lui valut le fouet.
Mis à part cela, oui, Nataël est un bon gars. Il adore les femmes, la justice. Il tendra la main à tout ceux qui lui demandent contre le plaisir d’en faire une chanson. Sa loyauté va à son village, Claquepluie, et surtout à son frère d’une autre mère, Ryam. Il le suivra jusque par delà le Mur, s’il le faut, parce que Ryam, oui, Ryam, est le seul à l’avoir défendu contre les gamins du village qui le traitait de mauviettes. Depuis, plus personne n’a joué à ça avec lui, surtout depuis qu’il a appris à jongler avec des couteaux.
Si le fils de la boulangère a hérité une chose de ses origines, c’est son amour pour le travail bien fait, une bonne journée de travail – muscial – et un amour passionnel pour les miches bien chaudes.
Mis à part cela, oui, Nataël est un bon gars. Il adore les femmes, la justice. Il tendra la main à tout ceux qui lui demandent contre le plaisir d’en faire une chanson. Sa loyauté va à son village, Claquepluie, et surtout à son frère d’une autre mère, Ryam. Il le suivra jusque par delà le Mur, s’il le faut, parce que Ryam, oui, Ryam, est le seul à l’avoir défendu contre les gamins du village qui le traitait de mauviettes. Depuis, plus personne n’a joué à ça avec lui, surtout depuis qu’il a appris à jongler avec des couteaux.
Si le fils de la boulangère a hérité une chose de ses origines, c’est son amour pour le travail bien fait, une bonne journée de travail – muscial – et un amour passionnel pour les miches bien chaudes.
Precisions
Nataël parle le commun et arrive à faire illusion dans pas mal d’autres langues quand il s’agit de les chanter.
Il a quatre grands talents : la harpe, la composition de balade, le chant et le maniement des couteaux.
Concernant ses faiblesses, son arrogance lui a joué de nombreux tour, tout comme son amour de la bonne chair, et il partage avec Ryam son sens aigu de la justice et de l’équité : un noble qui agit comme un vaurien n’est plus un noble pour lui.
Il voyage actuellement avec son frère, et n’a pour possession que son pipeau, ses huit couteaux de lancer forgés par son frère et sa harpe, son bien le plus précieux, gagné lors d’un concours local de chant. Le corps est fait de roses sculptées.
Il a quatre grands talents : la harpe, la composition de balade, le chant et le maniement des couteaux.
Concernant ses faiblesses, son arrogance lui a joué de nombreux tour, tout comme son amour de la bonne chair, et il partage avec Ryam son sens aigu de la justice et de l’équité : un noble qui agit comme un vaurien n’est plus un noble pour lui.
Il voyage actuellement avec son frère, et n’a pour possession que son pipeau, ses huit couteaux de lancer forgés par son frère et sa harpe, son bien le plus précieux, gagné lors d’un concours local de chant. Le corps est fait de roses sculptées.
Derriere l'ecran
Maegor
Moi, Nataël, je certifie avoir lu le règlement dans son intégrité, et je l'accepte.
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Passé
« Qu'il est beau mon chouchou »
Chronologie
Histoire
Lorsque ser Hunt poussa la porte de la boulangerie, il avait déjà entendu le gros de l’histoire, mais n’en revenait toujours pas. A vrai dire, il espérait que ces deux gosses qui avaient défendu sa forteresse à sa place eh bien… des élucubrations, rien de plus. Il connaissait Tancelle depuis des années maintenant, et l’avait soutenu contre son mari quand elle avait porté son unique gamin, Nataël. C’était dire l’affaire : le boulanger, revenu d’un voyage commercial de six mois pour trouver sa femme enceinte de cinq… Mais le monde tournait mieux ainsi : Tancelle avait son petit, le boulanger un héritier, et le forgeron, mis à part le regard courroucé que lui jetait sa femme, avait gagné un second fils.
Il flottait comme à l’accoutumé une bonne odeur de miche chaude qui fit savoureusement plaisir au Hunt. Après la chair calcinée, rien ne valait les brioches de Tancelle. Le carillon l’avait annoncé, et la pauvre femme sortit de la l’arrière boutique et poussa un cri de surprise.
- Messer ! Quelle tragédie !
Et la boulangère éclata en sanglots.
Gauchement, ser Hunt s’éclaircit la gorge et attendit que la pauvre femme se ressaisisse ; il en profita pour chiper une brioche et croqua dedans avec un soupir. Apaisé. Il se sentait… affamé après sa chevauchée.
- Ma bonne Tancelle. J’ai appris pour notre bon forgeron. Quelle tragédie…
- Oh oui Messer, renifla-t-elle en s’essuyant les yeux de son torchon farineux. Ces coquins… Mais nos fils s’en sont chargés, si vous aviez vu la détermination dans leurs yeux… Ryam était comme possédé, et mon pauvre chouchou, lui qui a les mains si délicates, qui ne brandirait jamais une arme… Que le Guerrier lui vienne en aide !
- Ainsi ils sont partis tous les deux.
- Oui. C’est l’honneur d’un homme de venger son… enfin, vous voyez c’que j’veux dire.
Ser Hyle Hunt hocha gravement la tête en avalant son dernier morceau. Il comprenait. Enfin, il comprenait que cette montagne qu’était Ryam choisisse l’affrontement armé, mais l’autre…
- Où sont-ils maintenant ?
- Les Sept seuls le savent, Messer, mais venez, Nataël m’a laissé une lettre pour vous. J’aimerais que vous me la lisiez, s’il vous plaît ser, vous savez, il écrit très bien depuis que vous avez laissé votre mestre l’instruire.
Le chevalier acquiesça, et se laissa entraîner dans les appartements de la boulangère, non sans empocher quelques petites friandises au passage.
Ma chère Mère,
D’abord, remerciez ser Hunt de vous lire ces mots. Je sais qu’il passera te voir pour entendre ta version de l’histoire. Tu vas la découvrir en même temps que lui. Ser Hunt, que vous preniez vous même la peine de lire cette lettre à ma pauvre mère montre que vous êtes un chevalier comme il y en a peu dans les Sept Couronnes – et si ce n’est pas vous qui lisez, tant pis !
- Ah ! S’exclama ser Hunt. Quelle indécence !
- C’est mon chouchou ça, fit la boulangère larmes aux yeux.
Nous prîmes la décision de nous faire le marteau de la justice nous-même après que Sam fut roué de coups comme un vulgaire cabot. Il y a des choses en ce monde qu’un homme ne peut laisser passer. Si tu avais vu Ryam, agenouillé dans le Septuaire, rendant hommage au Guerrier, et à l’Etranger. Car le sang allait couler, il ne pouvait en être autrement.
C’est mon frère d’un autre père… Je ne pouvais le laisser seul dans sa vendetta, cela aurait été trop dangereux pour lui.
Si tu m’avais vu embobiné tout ces types maman ! Une petite tape derrière l’épaule et Ryam qui les assomme d’un coup bien senti !
- Hum, lâcha ser Hunt. A ce qu’on m’a dit, votre fils a plutôt jouer de la dague pour…
- Chouchou ne ferait pas de mal à une mouche, Messer, siffla la boulangère.
Nous parvînmes donc jusqu’au chef des brigands, une crapule sans foi ni loi qui se disait chevalier. Il avait plus de dent dans la gueule qu’un cabot et suait la dépravation. Ryam le défia en combat singulier. Je te passe les détails pour ton estomac, mais son crâne était aussi mou à la fin que du beurre pommade !
- Par l’Aïeule !
- Nataël est vraiment doué avec les mots.
C’est alors que nous rendîmes compte que nous avions défendu nous même Claquepluie, que nous n’étions plus des enfants. Je déclarai alors d’une voix vive pour le Guerrier : « Pour stopper une ordure avec une épée, il faut juste un bon gars avec un marteau ». Je pense que ça peut être la devise de Ryam, que dis-je, futur Ser Ryam !
Car c’est notre décision, mère. Nous allons arpenter les Sept Couronnes, ou du moins, Ryam va le faire.
- Pas n’importe qui peut se prétendre… marmonna Hunt.
- Continuez Messer ! C’est quoi la décision de chouchou ?
Il sera le marteau, je serai l’enclume, lui l’épée, moi la plume.
- Et voilà qu’il fait de la poésie…
- Mon chouchou…
Nous serons le fléau des brigands, l’épée du juste qui plonge dans la chair des malandrins. Je me taillerai une réputation comme le héraut, le barde attitré de ser Syam, Marteau-du-Guerrier (je travaille encore sur son titre).
N’est crainte ma mère, nous prenons soin de l’autre. J’espère que nous reverrons bientôt, même si les pas de preux les emmène souvent bien loin de leur foyer pour des causes justes.
Ton fils qui t’aime,
Nataël.
Le silence s’éternisa alors que le chevalier relisait la lettre et que la boulangère serrait contre elle son torchon sale. Circonspect, Hunt reniflait abondamment et chassa les miettes de ses manches. Il finit par jeter un regard sur Tancelle.
- Bon, nous voilà bien avancé.
- Un si beau garçon mon chouchou, j’espère qu’il ne va rien lui arriver. Il attrape facilement froid, avec ce vent…
Un imbécile rêveur et son colosse de demi-frère qui ont mis en déroute une bande de brigands à la seule force de leur bras… Comme quoi, la chevalerie n’est pas innée, songea ser Hyle Hunt, mais elle s’acquière par une seule chose. La justice.
Il flottait comme à l’accoutumé une bonne odeur de miche chaude qui fit savoureusement plaisir au Hunt. Après la chair calcinée, rien ne valait les brioches de Tancelle. Le carillon l’avait annoncé, et la pauvre femme sortit de la l’arrière boutique et poussa un cri de surprise.
- Messer ! Quelle tragédie !
Et la boulangère éclata en sanglots.
Gauchement, ser Hunt s’éclaircit la gorge et attendit que la pauvre femme se ressaisisse ; il en profita pour chiper une brioche et croqua dedans avec un soupir. Apaisé. Il se sentait… affamé après sa chevauchée.
- Ma bonne Tancelle. J’ai appris pour notre bon forgeron. Quelle tragédie…
- Oh oui Messer, renifla-t-elle en s’essuyant les yeux de son torchon farineux. Ces coquins… Mais nos fils s’en sont chargés, si vous aviez vu la détermination dans leurs yeux… Ryam était comme possédé, et mon pauvre chouchou, lui qui a les mains si délicates, qui ne brandirait jamais une arme… Que le Guerrier lui vienne en aide !
- Ainsi ils sont partis tous les deux.
- Oui. C’est l’honneur d’un homme de venger son… enfin, vous voyez c’que j’veux dire.
Ser Hyle Hunt hocha gravement la tête en avalant son dernier morceau. Il comprenait. Enfin, il comprenait que cette montagne qu’était Ryam choisisse l’affrontement armé, mais l’autre…
- Où sont-ils maintenant ?
- Les Sept seuls le savent, Messer, mais venez, Nataël m’a laissé une lettre pour vous. J’aimerais que vous me la lisiez, s’il vous plaît ser, vous savez, il écrit très bien depuis que vous avez laissé votre mestre l’instruire.
Le chevalier acquiesça, et se laissa entraîner dans les appartements de la boulangère, non sans empocher quelques petites friandises au passage.
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Ma chère Mère,
D’abord, remerciez ser Hunt de vous lire ces mots. Je sais qu’il passera te voir pour entendre ta version de l’histoire. Tu vas la découvrir en même temps que lui. Ser Hunt, que vous preniez vous même la peine de lire cette lettre à ma pauvre mère montre que vous êtes un chevalier comme il y en a peu dans les Sept Couronnes – et si ce n’est pas vous qui lisez, tant pis !
- Ah ! S’exclama ser Hunt. Quelle indécence !
- C’est mon chouchou ça, fit la boulangère larmes aux yeux.
Nous prîmes la décision de nous faire le marteau de la justice nous-même après que Sam fut roué de coups comme un vulgaire cabot. Il y a des choses en ce monde qu’un homme ne peut laisser passer. Si tu avais vu Ryam, agenouillé dans le Septuaire, rendant hommage au Guerrier, et à l’Etranger. Car le sang allait couler, il ne pouvait en être autrement.
C’est mon frère d’un autre père… Je ne pouvais le laisser seul dans sa vendetta, cela aurait été trop dangereux pour lui.
Si tu m’avais vu embobiné tout ces types maman ! Une petite tape derrière l’épaule et Ryam qui les assomme d’un coup bien senti !
- Hum, lâcha ser Hunt. A ce qu’on m’a dit, votre fils a plutôt jouer de la dague pour…
- Chouchou ne ferait pas de mal à une mouche, Messer, siffla la boulangère.
Nous parvînmes donc jusqu’au chef des brigands, une crapule sans foi ni loi qui se disait chevalier. Il avait plus de dent dans la gueule qu’un cabot et suait la dépravation. Ryam le défia en combat singulier. Je te passe les détails pour ton estomac, mais son crâne était aussi mou à la fin que du beurre pommade !
- Par l’Aïeule !
- Nataël est vraiment doué avec les mots.
C’est alors que nous rendîmes compte que nous avions défendu nous même Claquepluie, que nous n’étions plus des enfants. Je déclarai alors d’une voix vive pour le Guerrier : « Pour stopper une ordure avec une épée, il faut juste un bon gars avec un marteau ». Je pense que ça peut être la devise de Ryam, que dis-je, futur Ser Ryam !
Car c’est notre décision, mère. Nous allons arpenter les Sept Couronnes, ou du moins, Ryam va le faire.
- Pas n’importe qui peut se prétendre… marmonna Hunt.
- Continuez Messer ! C’est quoi la décision de chouchou ?
Il sera le marteau, je serai l’enclume, lui l’épée, moi la plume.
- Et voilà qu’il fait de la poésie…
- Mon chouchou…
Nous serons le fléau des brigands, l’épée du juste qui plonge dans la chair des malandrins. Je me taillerai une réputation comme le héraut, le barde attitré de ser Syam, Marteau-du-Guerrier (je travaille encore sur son titre).
N’est crainte ma mère, nous prenons soin de l’autre. J’espère que nous reverrons bientôt, même si les pas de preux les emmène souvent bien loin de leur foyer pour des causes justes.
Ton fils qui t’aime,
Nataël.
Le silence s’éternisa alors que le chevalier relisait la lettre et que la boulangère serrait contre elle son torchon sale. Circonspect, Hunt reniflait abondamment et chassa les miettes de ses manches. Il finit par jeter un regard sur Tancelle.
- Bon, nous voilà bien avancé.
- Un si beau garçon mon chouchou, j’espère qu’il ne va rien lui arriver. Il attrape facilement froid, avec ce vent…
Un imbécile rêveur et son colosse de demi-frère qui ont mis en déroute une bande de brigands à la seule force de leur bras… Comme quoi, la chevalerie n’est pas innée, songea ser Hyle Hunt, mais elle s’acquière par une seule chose. La justice.
Recensement
- Code:
Ben Barnes <pris>♜</pris> @"Nataël"
- Code:
Personnage 1
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Bienvenue par ici ! On passe voir ta fiche très bientôt !
The ones who'd been gone for so very long She couldn't remember their names They spun her around on the damp old stones Spun away all her sorrow and pain
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Localisation : Port-Réal
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Bienvenue par ici !
Little Finger
Le lorem ipsum est, en imprimerie, une suite de mots sans signification utilisée.
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Bienvenue Chouchou (la brioche fait bien envie^^)
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Hello @Nataël Il reste quelques petits détails à revoir avant de pouvoir valider ta fiche. Déjà je chipote pour l'âge mais Nataël a actuellement 19 et non 20 ans (bon c'est surtout à titre informatif pour toi au cas-où, c'est vraiment une question de quelques mois xD). Aussi on aimerait juste que tu changes la toute dernière image de la fiche (le lien doit être cassé).
Et pour ce point : "An 290 - Enfant râleur et rêveur, sa mère réussit à le faire étudier au manoir. Il ne reprendra jamais la boulangerie familiale, c’est une évidence…"
On a aucun problème avec le fait que Nataël ait été éduqué par contre on aimerait juste avoir le détail du "pourquoi", un fils de boulangère qui apprend auprès d'un mestre c'est pas courant (mais on l'encourage )
Une fois ces modifications faites je te laisse me ping pour qu'on repasse voir !
Et pour ce point : "An 290 - Enfant râleur et rêveur, sa mère réussit à le faire étudier au manoir. Il ne reprendra jamais la boulangerie familiale, c’est une évidence…"
On a aucun problème avec le fait que Nataël ait été éduqué par contre on aimerait juste avoir le détail du "pourquoi", un fils de boulangère qui apprend auprès d'un mestre c'est pas courant (mais on l'encourage )
Une fois ces modifications faites je te laisse me ping pour qu'on repasse voir !
« Regarde donc, père, si je suis ta ruine. Il n’y a pas d’homme plus riche que moi en cette terre, personne qui n’ait ni ma puissance, ni ma gloire. Si une personne ici fait honte à l’autre, c’est toi – car je suis un cadeau des dieux et que tu me jalouses depuis toujours. »
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@Belarro Et voilà ! Modifications faites : image rectifiée (moi pas douée), âge rectifiée (moi pas douée du tout) et la citation de chronologie remaniée ! Je reste dispo si faut faire des retouches. Merci à toi !
Nataël a écrit:
An 290 - Nataël préfère manger les brioches que les faire. Il ne reprendra jamais la boulangerie familiale, c'est une évidence et ses trois parents ne savent pas quoi faire de lui. Si un homme ne sait rien faire de ses mains, au moins, il a une tête... Après une affaire rondement menée auprès de sa corporation par le Forgeron, ce dernier demande à ser Hunt, pour le remercier du travail accompli, de laisser le mestre lui enseigner les lettres et les bases du calcul. Tancelle le soutien, arguant qu'il chante bien, chouchou.
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death awaits
if you don't fly higher
death awaits
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Bienvenue sur NTK
Natael
Natael
Félicitations !Te voilà validé !
Tu vas bientôt être ajouté au groupe de ta région, ce qui te donnera accès à l'intégralité du forum. Tu vas donc pouvoir commencer à RP mais aussi découvrir une partie secrète de NTK, le Passage Secret. Tu y auras d'ailleurs un sujet dédié à ta famille/organisation, créé par le MJ : il s'agit de l'espace dédié aux complots et autres manœuvres politiques, mais lis bien les règles avant toute chose. Aussi, une fois que tu verras ce sujet créé, il faudra poster (sous balises hide) pour lire le message !
Si ce n'est pas déjà fait, tu peux également rejoindre le Discord du forum pour venir papoter avec la communauté, et trouver toujours plus de RPs !
Avant de jouer, il te faudra créer le registre de ton personnage, qui recensera sa chronologie, ses liens, ses RPs... Bref, tout ce qu'il y a à savoir sur lui. Tu peux également créer des personnages précréés si tu le souhaites.
Si tu as des questions, tu peux bien entendu les poster dans la section invités ou sur le Discord, on viendra y répondre au plus vite !
En te souhaitant de belles aventures sur NTK !