Larra Bonfrère, la fraternité en moins
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HRP
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Larra Bonfrère
« C'est pas la Mère qui prends la femme »
Identite
Genealogie
Norne Bonfrère, son père, et Melena Bonfrère sa mère
Alycia, Aena et Rita, femme-sels de Norne
Aeron, Morgan, Cahir, Morted, Cadarion, ses frères
Elissa, Camilla, Helena ses sœurs
Mathys Bonfrère; fils aîné avec Baelon Celtigar, son homme-sel
Alycia, Aena et Rita, femme-sels de Norne
Aeron, Morgan, Cahir, Morted, Cadarion, ses frères
Elissa, Camilla, Helena ses sœurs
Mathys Bonfrère; fils aîné avec Baelon Celtigar, son homme-sel
Personnalite
Larra se distingue par son optimisme à toute épreuve. Facile à vivre, la Jeune Mère aime le drame, la passion et le plaisir, non pas pour les sensations fortes, mais parce que cela stimule son esprit logique. Cela l’oblige à prendre des décisions critiques basées sur des faits, sur la réalité immédiate, dans un processus de réponse rapide et rationnelle au stimulus. Raisonnable et naturelle Larra a développé un sens de l‘humour espiègle, et elle sait se montrer incroyablement divertissante. Brave, voire téméraire, la fer-née est la première à se jeter dans le feu de l’action aussi bien au combat que dans la vie de tous les jours. On remarque sa capacité à charmer son entourage par le tourbillon de personnes qui l’accompagne dès qu’elle apparaît en public. Ces aspects de sa personnalité se retrouvent dans sa grande tolérance culturelle, acceptant aussi bien des lysiens que des pirates dorniens dans ses équipages bien qu’elle reste attachée à certains aspects de l’Antique Voie et sa croyance dans le Dieu Noyé. Elle apprécie également les mestres et les prêtres rouges pour leurs connaissances voir pouvoirs, mais refuse d’entendre le moindre prosélytisme d’une quelconque religion à portée de ses oreilles.
Malgré ses qualités, Larra n’en reste pas moins exigeante aussi bien envers elle-même que les autres. Peu adepte « Faire comme si, en attendant de pouvoir faire comme ça », la capitaine tend à enfoncer les portes et s’attends à ce qu’on la suive, qu’on l’aime ou non. Aisément dominante malgré ses dehors amicaux et optimistes, Larra n’hésite pas à se montrer dure et cassante envers ceux qui la déçoivent et pratiquent l’humiliation si nécessaire. Profondément pieuse et élevée par les ossements de Nagga, elle n’hésite pas à sacrifier ses ennemis au Dieu Noyé et croit en certaines valeurs de l’Antique Voie. Elle a cependant, plus par orgueil et adaptabilité que par conviction, le fer-prix et la servitude à tout prix comme mantra et l’utilise plus comme prétexte. Superstitieuse, Larra voit aisément des symboles dans la météo ou les vagues et se laisse parfois aller à prendre des décisions hasardeuses à leur simple vue ou mention.
Malgré ses qualités, Larra n’en reste pas moins exigeante aussi bien envers elle-même que les autres. Peu adepte « Faire comme si, en attendant de pouvoir faire comme ça », la capitaine tend à enfoncer les portes et s’attends à ce qu’on la suive, qu’on l’aime ou non. Aisément dominante malgré ses dehors amicaux et optimistes, Larra n’hésite pas à se montrer dure et cassante envers ceux qui la déçoivent et pratiquent l’humiliation si nécessaire. Profondément pieuse et élevée par les ossements de Nagga, elle n’hésite pas à sacrifier ses ennemis au Dieu Noyé et croit en certaines valeurs de l’Antique Voie. Elle a cependant, plus par orgueil et adaptabilité que par conviction, le fer-prix et la servitude à tout prix comme mantra et l’utilise plus comme prétexte. Superstitieuse, Larra voit aisément des symboles dans la météo ou les vagues et se laisse parfois aller à prendre des décisions hasardeuses à leur simple vue ou mention.
Precisions
Larra parle couramment la Langue Commune et maîtrise parfaitement les dialectes lysien, tyroshi et myrien. Elle a quelques bases des autres patois des Cités Libres. Elle connaît parfaitement la carte du ciel mais également la géographie des côtes de Westeros notamment des Degrés de Pierre. C’et une excellente archère et maîtrise le combat à la hache. En comparaison, elle reste relativement menue et fragile. Larra n’a presque aucune connaissance des mœurs de Westeros en dehors des Îles de Fer – plus habituée aux Cités Libres.
Elle possède un bout d’os de Nagga qu’elle garde constamment attaché à un collier en argent et ivoire. Larra a plusieurs cicatrices, notamment une de strangulation par corde autour de son cou, un coup d’épée au niveau des côtes et un autre sous la clavicule et la marque d’une flèche dans la cuisse.
Elle possède un bout d’os de Nagga qu’elle garde constamment attaché à un collier en argent et ivoire. Larra a plusieurs cicatrices, notamment une de strangulation par corde autour de son cou, un coup d’épée au niveau des côtes et un autre sous la clavicule et la marque d’une flèche dans la cuisse.
Derriere l'ecran
Jaca'
Moi, Jaca', je certifie avoir lu le règlement dans son intégrité, et je l'accepte.
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HRP
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Passé
Homme Libre, tu chériras la mer
Chronologie
Histoire
Le grain du bois est désagréable sous mes doigts. Il est grossier, ruguex et s’infiltrait partout. Malgré la pulpe endurcie des doigts, mille aiguilles désagréables y trouvent leur place. J’inspire profondément l’air marin et les effluves iodées et salées titillent mes sens. Port-Réal attends mon arrivée Au doux grincement du gréement, mon regard se porte pourtant sur la petite île qui disparaît à l’horizon. Une simple tour de guet sur la colline unique de ce territoire de quelques kilomètres carré seulement. Pourtant, c’est le cœur de mon royaume, le lieu que j’appelle chez moi. Difficile d’imaginer que c’est pour le protéger que je le quitte. La menace est invisible et ne se concrétisera peut-être jamais. Mais je veux réaliser mes rêves, je sais que j’irai la trouver et la combattre.
« Il dort. »
Mes doigts se dévoilent sous un sourire ravi tandis que je penche la tête sur le côté avant de me tourner vers Ser Patrek. Il appuie ses coudes sur le bastingage et coule ce regard amusé dont il a le secret. Mon sourire s’élargit. Le destin était un heureux hasard à ses yeux, et il m’avait convaincue en partie de cette vérité. Rien n’aurait pu laissé penser qu’un preux chevalier des terres vertes viendraient à jour à être mon fidèle second et meilleur ami dans la guerre sanglante et secrète des Degrés de Pierre.
« On a fait un sacré bout de chemin hein ? »
Ma voix est brusque et rocailleuse. Si elle est utile au cœur de la bataille ou du ressac de la tempête, je ne l’ai jamais aimée. Pourtant, les fer-nées reconnaissaient une des leurs à cette intonation dure et acérée comme leur acier. Mon père était fier de sa petite native du Vieux Wyk, élevée sous les ossements de Nagga, et son tonnerre de voix comme il l’appelait. C’était sous mes cris et mes implorations résonnant dans tout Shatterstone qu’il m’avait embarquée à dix ans pour aider à dépouiller les corps des bieffois lors de la campagne éclair de Quellon Greyjoy sur la Mander. J’y avait tué mon premier homme à coup de dagues dans le dos, et j’avais pris le pied marin.
« Serait-ce là de la nostalgique que je vois briller dans vos yeux jeune demoiselle ? »
Je secoue la tête, l’or de mes cheveux scintillant l’espace d’un instant au soleil. Je ne regrettais pas cette époque. Mon enfance avait été heureuse entourée de mes cinq frères, mes trois sœurs ainsi que les femmes-sel de mon père qui m’avaient éduqué autant que lui. La petite Larra Bonfrère était la terreur de Vieux Wyk et avant même la rébellion de Baelon, elle avait participé à son lot de pillage avant ses seize ans. C’était pourtant bien durant la campagne de la vieille Seiche que ma vie avait changé. De Salvemir à Belle Île, j’étais de toutes les batailles. C’était sur un boutre en loques que j’avais regagné le fief familial pour le trouver assiégé. Barristan le Hardi relevait de l’enfer à mes yeux. Sa stratégie était brutale et efficace. Trois chevaliers m’avaient tendu une embuscade, me perçant aux côtes et à la clavicule. Peu importe mes insultes, leur promesse de se faire tuer par la reine-noyée, ils parvinrent à me maîtriser. Seul l’intervention de leur écuyer et leur mestre m’avaient sauvé.
« Je ressasse quelques souvenirs Patrek. Te souviens-tu de Vieux Wyk ?
- Quel enfer. Je n’y remettrai jamais les pieds.
- Eh ! C’était toi l’envahisseur. »
Mon poing s’écrase amicalement sur son épaule. Il ne porte pas l’armure de plates qu’il arbore habituellement. Même ses éperons d’or, symbole de son statut, l’attendent patiemment dans sa cabine. Après la guerre, déjà prisonnière, le rôle d’otage m’était tombé dessus. Pendant un an, j’étais devenue presque une serf pour le compte d’un chevalier quelconque du Bief, le père de Patrek. Celui qui m’avait sauvée la vie une fois est depuis mon meilleur ami.
« En plus tu es revenu sur Vieux Wyk avec moi. »
Six lunes. Voilà le temps qu’il m’avait fallu pour désirer me sauver à mon retour chez mon père. Autrefois la fille chérie, j’étais désormais secondaire. Le temps, bien que court, avait fait son travail. La place de choix revenait à mes frères. Aussi je me suis résignée à signer pour un an dans une galère pour faire le tour des Cités Libres. Un brave marchand fer-né qui désirait quelques guerriers pour le protéger. Tout le monde au sein du peuple du Dieu Noyé ne peut se permettre d’être un pillard sanguinaire. Le Geai Moqueur restait un des navires à la discipline de fer et il faisait bon vivre. J’avais réussi à embarquer Patrek avec moi. De sauveur à geôlier puis compagnon de voyage, il n’y avait que quelques pas. Depuis, il n’a cesse de se dire plus sauvage et fer-né que chevalier bien qu’on le sache que c’est faux. Il a essayé de me dissuader à mon deuxième retour sur Vieux Wyk. Rien n’y avait fait.
Je suis résolue encore aujourd’hui à me tailler mon propre royaume au bout de ma hache. C’est la promesse que j’ai faite à mes premiers hommes et à mon père pour obtenir mon premier navire. Depuis que Tarle Triple-Noyé m’avait baptisée avant même le couronnement de Baelon Greyjoy je savais que je régnerai un jour. Je doute faire tomber la Seiche de son perchoir, aussi j’ai décidé de le faire dans les Degrés de Pierre. Une majorité de femme, une fois n’est pas coutume, a rejoint mon petit équipage et cela a suffi à nous installer sur une petite île et d’y construire une tour de guet surplombant un vallon. Il n’en faut pas moins pour hériter d’un surnom : la Combe des Moires. Patrek m’a faite la Dame du lieu et je me surnomme moi-même la Jeune Mère après deux ans de piraterie, et pas moins de trois navires ajoutés à m a flotte. Sans aucun atome crochu avec cette histoire vieille de quarante ans, je sais que les habitants disparates des Degrés de Pierre vivent de cette légende.
« Tu crois qu’il aura le pied marin ?
– Il n'a pas tellement le choix. »
Il. Probablement ma plus belle conquête, mon premier fils qui est né d’une étrange rencontre. Le sang des vieux dragons coule dans ses veines par son père. Baelon Celtigar qui le destin a décidé de jeter sous mes pieds. Je me rappelle encore du refus de son père de payer sa rançon après sa capture mais aussi la fierté délirante de l’héritier du vieux Crabe. Patrek évite le sujet mais je sais qu’il déteste mon comportement alors. Faire d’un chevalier mon homme-sel va à l’encontre de ses valeurs. Je ne peux pas dire avoir jouir de la présence taciturne de Baelon. Le peu de plaisir que j’ai éprouvé à le briser et le faire mien résident en Mathys. C’est en partie pour lui que je me suis autoproclamée Princesse du Détroit pour aller des noises au pirate lysien du nom de Slaadhor Saan. Pour lui que je m bats. Pour lui qu’étrillée par mon ennemi je dois aller à Port Réal aller chercher des renforts et des alliés.
« Il dort. »
Mes doigts se dévoilent sous un sourire ravi tandis que je penche la tête sur le côté avant de me tourner vers Ser Patrek. Il appuie ses coudes sur le bastingage et coule ce regard amusé dont il a le secret. Mon sourire s’élargit. Le destin était un heureux hasard à ses yeux, et il m’avait convaincue en partie de cette vérité. Rien n’aurait pu laissé penser qu’un preux chevalier des terres vertes viendraient à jour à être mon fidèle second et meilleur ami dans la guerre sanglante et secrète des Degrés de Pierre.
« On a fait un sacré bout de chemin hein ? »
Ma voix est brusque et rocailleuse. Si elle est utile au cœur de la bataille ou du ressac de la tempête, je ne l’ai jamais aimée. Pourtant, les fer-nées reconnaissaient une des leurs à cette intonation dure et acérée comme leur acier. Mon père était fier de sa petite native du Vieux Wyk, élevée sous les ossements de Nagga, et son tonnerre de voix comme il l’appelait. C’était sous mes cris et mes implorations résonnant dans tout Shatterstone qu’il m’avait embarquée à dix ans pour aider à dépouiller les corps des bieffois lors de la campagne éclair de Quellon Greyjoy sur la Mander. J’y avait tué mon premier homme à coup de dagues dans le dos, et j’avais pris le pied marin.
« Serait-ce là de la nostalgique que je vois briller dans vos yeux jeune demoiselle ? »
Je secoue la tête, l’or de mes cheveux scintillant l’espace d’un instant au soleil. Je ne regrettais pas cette époque. Mon enfance avait été heureuse entourée de mes cinq frères, mes trois sœurs ainsi que les femmes-sel de mon père qui m’avaient éduqué autant que lui. La petite Larra Bonfrère était la terreur de Vieux Wyk et avant même la rébellion de Baelon, elle avait participé à son lot de pillage avant ses seize ans. C’était pourtant bien durant la campagne de la vieille Seiche que ma vie avait changé. De Salvemir à Belle Île, j’étais de toutes les batailles. C’était sur un boutre en loques que j’avais regagné le fief familial pour le trouver assiégé. Barristan le Hardi relevait de l’enfer à mes yeux. Sa stratégie était brutale et efficace. Trois chevaliers m’avaient tendu une embuscade, me perçant aux côtes et à la clavicule. Peu importe mes insultes, leur promesse de se faire tuer par la reine-noyée, ils parvinrent à me maîtriser. Seul l’intervention de leur écuyer et leur mestre m’avaient sauvé.
« Je ressasse quelques souvenirs Patrek. Te souviens-tu de Vieux Wyk ?
- Quel enfer. Je n’y remettrai jamais les pieds.
- Eh ! C’était toi l’envahisseur. »
Mon poing s’écrase amicalement sur son épaule. Il ne porte pas l’armure de plates qu’il arbore habituellement. Même ses éperons d’or, symbole de son statut, l’attendent patiemment dans sa cabine. Après la guerre, déjà prisonnière, le rôle d’otage m’était tombé dessus. Pendant un an, j’étais devenue presque une serf pour le compte d’un chevalier quelconque du Bief, le père de Patrek. Celui qui m’avait sauvée la vie une fois est depuis mon meilleur ami.
« En plus tu es revenu sur Vieux Wyk avec moi. »
Six lunes. Voilà le temps qu’il m’avait fallu pour désirer me sauver à mon retour chez mon père. Autrefois la fille chérie, j’étais désormais secondaire. Le temps, bien que court, avait fait son travail. La place de choix revenait à mes frères. Aussi je me suis résignée à signer pour un an dans une galère pour faire le tour des Cités Libres. Un brave marchand fer-né qui désirait quelques guerriers pour le protéger. Tout le monde au sein du peuple du Dieu Noyé ne peut se permettre d’être un pillard sanguinaire. Le Geai Moqueur restait un des navires à la discipline de fer et il faisait bon vivre. J’avais réussi à embarquer Patrek avec moi. De sauveur à geôlier puis compagnon de voyage, il n’y avait que quelques pas. Depuis, il n’a cesse de se dire plus sauvage et fer-né que chevalier bien qu’on le sache que c’est faux. Il a essayé de me dissuader à mon deuxième retour sur Vieux Wyk. Rien n’y avait fait.
Je suis résolue encore aujourd’hui à me tailler mon propre royaume au bout de ma hache. C’est la promesse que j’ai faite à mes premiers hommes et à mon père pour obtenir mon premier navire. Depuis que Tarle Triple-Noyé m’avait baptisée avant même le couronnement de Baelon Greyjoy je savais que je régnerai un jour. Je doute faire tomber la Seiche de son perchoir, aussi j’ai décidé de le faire dans les Degrés de Pierre. Une majorité de femme, une fois n’est pas coutume, a rejoint mon petit équipage et cela a suffi à nous installer sur une petite île et d’y construire une tour de guet surplombant un vallon. Il n’en faut pas moins pour hériter d’un surnom : la Combe des Moires. Patrek m’a faite la Dame du lieu et je me surnomme moi-même la Jeune Mère après deux ans de piraterie, et pas moins de trois navires ajoutés à m a flotte. Sans aucun atome crochu avec cette histoire vieille de quarante ans, je sais que les habitants disparates des Degrés de Pierre vivent de cette légende.
« Tu crois qu’il aura le pied marin ?
– Il n'a pas tellement le choix. »
Il. Probablement ma plus belle conquête, mon premier fils qui est né d’une étrange rencontre. Le sang des vieux dragons coule dans ses veines par son père. Baelon Celtigar qui le destin a décidé de jeter sous mes pieds. Je me rappelle encore du refus de son père de payer sa rançon après sa capture mais aussi la fierté délirante de l’héritier du vieux Crabe. Patrek évite le sujet mais je sais qu’il déteste mon comportement alors. Faire d’un chevalier mon homme-sel va à l’encontre de ses valeurs. Je ne peux pas dire avoir jouir de la présence taciturne de Baelon. Le peu de plaisir que j’ai éprouvé à le briser et le faire mien résident en Mathys. C’est en partie pour lui que je me suis autoproclamée Princesse du Détroit pour aller des noises au pirate lysien du nom de Slaadhor Saan. Pour lui que je m bats. Pour lui qu’étrillée par mon ennemi je dois aller à Port Réal aller chercher des renforts et des alliés.
Recensement
- Code:
Tamzin Merchant<pris>♜</pris> @"Larra Bonfrère"
- Code:
Tywin Lannister ♜ Gerold Dayne ♜ Larra Bonfrère
Tears, Blood and Sweat
by the edge of the blade
(c) Miss Pie
Personnage
Messages : 33
HRP
Profil
Personnage
Messages : 22
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Une copine des IDF !!!!! Re-bienvenue par ici
death awaits
if you don't fly higher
death awaits
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Bienvenue sur NTK
Invité
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Félicitations !Te voilà validé !
Tu vas bientôt être ajouté au groupe de ta région, ce qui te donnera accès à l'intégralité du forum. Tu vas donc pouvoir commencer à RP mais aussi découvrir une partie secrète de NTK, le Passage Secret. Tu y auras d'ailleurs un sujet dédié à ta famille/organisation, créé par le MJ : il s'agit de l'espace dédié aux complots et autres manœuvres politiques, mais lis bien les règles avant toute chose. Aussi, une fois que tu verras ce sujet créé, il faudra poster (sous balises hide) pour lire le message !
Si ce n'est pas déjà fait, tu peux également rejoindre le Discord du forum pour venir papoter avec la communauté, et trouver toujours plus de RPs !
Avant de jouer, il te faudra créer le registre de ton personnage, qui recensera sa chronologie, ses liens, ses RPs... Bref, tout ce qu'il y a à savoir sur lui. Tu peux également créer des personnages précréés si tu le souhaites.
Si tu as des questions, tu peux bien entendu les poster dans la section invités ou sur le Discord, on viendra y répondre au plus vite !
En te souhaitant de belles aventures sur NTK !
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