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Jardin des secrets
Allyria Dayne et Varys
jour 3, lune 4, 298
Port-Réal. Le nom de la capitale était craché à Dorne, la capitale de l'horreur. La capitale qui avait vu Elia Martell être brutalisée, violentée, violée devant ses enfants qui avaient été massacrés. On murmurait depuis que la capitale n'apportait que le malheur aux Dorniens qui osaient en franchir les murs. Allyria se demandait ce que lui raconterait les pierres si elles pouvaient parler ; Chanterait-elle des amours perdus d'un prince Targaryen ou les horreurs vécues sous leur protection ? C'était la première fois qu'elle était à la capitale, et elle n'était pas impressionnée. Les rues de Port-Réal étaient sales, et même le Donjon Rouge ne trouvait pas grâce à ses yeux. Comment la ville pouvait-elle rivaliser avec les Jardins Aquatiques ? Lancehélion ou encore les Météores. Les jardins du Donjon Rouge étaient probablement ce qu'il y avait de plus beau à la capitale, ainsi, elle s'y était aventuré tôt dans l'après-midi, laissant Édric dans leurs appartements pour visiter en toute tranquillité. Sa mère avait probablement arpenté ces chemins, ces murs avaient entendu son rire au moins une fois. Comme elle était jalouse des pierres soudainement, comme elle aurait aimé la connaître. Être à Port-Réal était un moyen pour elle de connaître un bout d'elle, même infime. Un morceau de sa mère qui devait encore être joyeuse ici, loin de celle qui se jettera du haut de la plus haute tour des Météores après avoir accouché.
Durant son enfance, personne n'osait prononcer son nom comme si il était maudit ou pouvait conjurer son fantôme pour les hanter. Allyria n'avait jamais osé pousser ses parents à en parler, elle pouvait voir à quel point c'était douloureux pour eux. Il n'y avait pas qu'elle qui avait vécu entre ses murs, mais aussi Arthur. Cela la fit sourire entre les rosiers. Est-ce qu'il traînait lui aussi dans ces jardins dans son temps libre ? Pensait-il parfois aux Météores en regardant la mer au loin ? Ces questions resteraient sans réponse. Edric lui en posait des centaines parfois, il avait un esprit curieux et elle l'adorait comme il était même si elle devait lui mentir pour son propre bien.
Ses mains effleurèrent les haies, son regard se perdant sur les vagues dont le son était lointain. Elle sortit de sa contemplation aux pas en face d'elle et à la forme qui se dessinait au loin. Varys. L'eunuque était reconnaissable, sa réputation le précédent. L'homme était le gardien de nombreux secrets, un homme puissant sans titre et sans terre. Un homme dangereux, n'ayant rien à perdre aussi, mais tout à gagner. Elle se tourna vers ses dames d'atours leur demandant de vaquer à leurs occupations afin d'avoir un moment seule avec l'homme des chuchots. Elle s'avança vers lui et avec un sourire pour l'accueillir « Messire Varys, j'espère ne pas vous déranger en pleine promenade ? »
Durant son enfance, personne n'osait prononcer son nom comme si il était maudit ou pouvait conjurer son fantôme pour les hanter. Allyria n'avait jamais osé pousser ses parents à en parler, elle pouvait voir à quel point c'était douloureux pour eux. Il n'y avait pas qu'elle qui avait vécu entre ses murs, mais aussi Arthur. Cela la fit sourire entre les rosiers. Est-ce qu'il traînait lui aussi dans ces jardins dans son temps libre ? Pensait-il parfois aux Météores en regardant la mer au loin ? Ces questions resteraient sans réponse. Edric lui en posait des centaines parfois, il avait un esprit curieux et elle l'adorait comme il était même si elle devait lui mentir pour son propre bien.
Ses mains effleurèrent les haies, son regard se perdant sur les vagues dont le son était lointain. Elle sortit de sa contemplation aux pas en face d'elle et à la forme qui se dessinait au loin. Varys. L'eunuque était reconnaissable, sa réputation le précédent. L'homme était le gardien de nombreux secrets, un homme puissant sans titre et sans terre. Un homme dangereux, n'ayant rien à perdre aussi, mais tout à gagner. Elle se tourna vers ses dames d'atours leur demandant de vaquer à leurs occupations afin d'avoir un moment seule avec l'homme des chuchots. Elle s'avança vers lui et avec un sourire pour l'accueillir « Messire Varys, j'espère ne pas vous déranger en pleine promenade ? »
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@Allyria Dayne, An 298 - Lune 4 - Semaine 1 - Jour 3
Les jardins du Donjon Rouge. Lieu où la beauté naturelle se mêlait aux intrigues de la cour, havre de paix trompeur où chaque murmure pouvait se transformer en une arme acérée. Du moins, pour Varys. Les roses, d’un rouge profond sanglant, exhalaient leur parfum délicat, pourraient tout aussi bien camoufler les secrets que portaient ces murs depuis des siècles. Varys, marchant avec la légèreté d’un homme habitué à ne jamais faire de bruit, savourait cette apparente tranquillité comme un le pouvait. Pour un homme tel que lui, ces jardins étaient un terrain fertile pour l’observation.
Le maître des chuchoteurs était comme à son habitude vêtu de ses robes amples et soyeuses, kaléidoscope de couleurs. Il avançait sans hâte, mais restait attentif. Ses yeux glissaient sur les formes et les ombres, car dans une ville comme Port-Réal, rien n’était insignifiant. Les arbres, les haies, même les statues semblaient lui chuchoter récits oubliés de conspirations passées.
Il repéra la jeune Lady Allyria Dayne avant qu’elle ne l’aperçoive. Une rose de Dorne au cœur de Port-Réal, pensait-il, une présence fort rare en ces lieux. Il savait bien des choses sur elle, comme il savait beaucoup de choses sur tous les membres de la cour et bien au-delà. Une étrangère au sein d’une capitale qui n’avait montré que trop peu de clémence envers les membres de sa lignée. Les Dorniens n’étaient pas les bienvenus ici, méfiance à l’égard des Lannister et souvenirs amers des Targaryen imprégnant chaque mot et chaque regard. Mais Allyria, par son regard rêveur et ses gestes gracieux, semblait être en quête de réminiscences qui ne lui étaient pas permises.
Quand elle lui adressa la parole, son sourire semblait poli. “Lady Dayne,” répondit-il d’une voix douce. “La promenade est toujours plus agréable en compagnie de quelqu’un qui sait apprécier la beauté et la subtilité des jardins. Vous ne me dérangez pas du tout, bien au contraire.” Il incline légèrement la tête de manière respectueuse mais mesurée. Il prit un moment pour la détailler. “Dites-moi, Lady Allyria, qu’est-ce qui vous amène ici, en ces lieux qui, je le crains, n’offrent que rarement la paix que l’on recherche ?”
Elle pourrait lui répondre que l’approche du tournoi l’avait amenée à Port-Réal, comme bien d’autres nobles dames et seigneurs des Sept Couronnes. Mais sa question allait plus loin. Il s’arrêta, offrant à la jeune noble la possibilité de répondre, de lui confier ce qu’elle souhaitait, car il se doutait bien que son approche n’était pas totalement anodine. Varys était patient.
Le maître des chuchoteurs était comme à son habitude vêtu de ses robes amples et soyeuses, kaléidoscope de couleurs. Il avançait sans hâte, mais restait attentif. Ses yeux glissaient sur les formes et les ombres, car dans une ville comme Port-Réal, rien n’était insignifiant. Les arbres, les haies, même les statues semblaient lui chuchoter récits oubliés de conspirations passées.
Il repéra la jeune Lady Allyria Dayne avant qu’elle ne l’aperçoive. Une rose de Dorne au cœur de Port-Réal, pensait-il, une présence fort rare en ces lieux. Il savait bien des choses sur elle, comme il savait beaucoup de choses sur tous les membres de la cour et bien au-delà. Une étrangère au sein d’une capitale qui n’avait montré que trop peu de clémence envers les membres de sa lignée. Les Dorniens n’étaient pas les bienvenus ici, méfiance à l’égard des Lannister et souvenirs amers des Targaryen imprégnant chaque mot et chaque regard. Mais Allyria, par son regard rêveur et ses gestes gracieux, semblait être en quête de réminiscences qui ne lui étaient pas permises.
Quand elle lui adressa la parole, son sourire semblait poli. “Lady Dayne,” répondit-il d’une voix douce. “La promenade est toujours plus agréable en compagnie de quelqu’un qui sait apprécier la beauté et la subtilité des jardins. Vous ne me dérangez pas du tout, bien au contraire.” Il incline légèrement la tête de manière respectueuse mais mesurée. Il prit un moment pour la détailler. “Dites-moi, Lady Allyria, qu’est-ce qui vous amène ici, en ces lieux qui, je le crains, n’offrent que rarement la paix que l’on recherche ?”
Elle pourrait lui répondre que l’approche du tournoi l’avait amenée à Port-Réal, comme bien d’autres nobles dames et seigneurs des Sept Couronnes. Mais sa question allait plus loin. Il s’arrêta, offrant à la jeune noble la possibilité de répondre, de lui confier ce qu’elle souhaitait, car il se doutait bien que son approche n’était pas totalement anodine. Varys était patient.
▬ power is a curious thing. who lives, who dies. power resides where men believe it resides. it is a trick, a shadow on the wall.
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Allyria Dayne et Varys
jour 3, lune 4, 298
Elle se demandait si en ce moment même les oiseaux ou les fleurs racontaient les secrets de son cœur à l'homme mystérieux en face d'elle. L'homme semblait dans son élément, peut-être trop. C'était là que résidait probablement sa force ; Se fondre dans le paysage, se faire oublier pour écouter les secrets que le vent pourrait lui porter, se faire oublier pour le sous-estimer. Allyria avait une pointe pour l'araignée qui avait su tisser sa toile assez haut pour pouvoir côtoyer des rois et des seigneurs des Sept Royaumes. Pourtant, elle n'en oubliait pas la dangerosité de la créature, elle pouvait être aussi rapide que mortelle. Cependant, elle lui adressa un sourire sincère. Elle ne pouvait que grandir d'une discussion avec un homme aussi intéressant et elle se sentait prête à jouer à ce jeu de mensonges et vérités. Elle était de toute façon certaine que ce jardin comme tout le Donjon Rouge était espionné pour divers personnages de la Cour.
« Les souvenirs, j'imagine. Je me demande ce que le jardin était, est et sera, ce que les pierres peuvent murmurer aux roses, si les fantômes hantent les allées. » Elle fit un geste à Varys pour qu'il la suive pour continuer la ballade. Elle l'observait du coin de l'œil, marcher tranquillement. La vérité était qu'elle savait peu de choses sur la vie de Varys ni sur ses convictions, il semblait en porter plusieurs, ses loyautés étant comme des masques qu'il se plaisait à mettre selon qui lui parlait et comment il pouvait extraire une information. Elle l'avait vu à l'œuvre avec d'autres nobles à la Cour les jours précédents, comment son sourire changeait subtilement, sa marche même semblait dissimuler des secrets. Elle jeta de nouveau un regard à la mer, à Dorne qui lui manquait déjà terriblement. Port-Réal n'était pas un lieu pour les Dorniens, la sentence était connue de tous et pourtant, elle s'évertuait d'être présente ici pour Edric, pour sa famille. C'était les Dayne qui étaient le moteur de son coeur.
Elle s'arrêta un instant à l'extrémité du jardin, là où elle pouvait le mieux sentir la mer et le vent pousser ses cheveux derrière son épaule. L'endroit qui lui donnait le plus l'impression d'être de retour chez elle. Elle se tourna de nouveau vers Varys « Si ce n'est pas la paix que vous recherchez, pourquoi être ici ? Est-ce votre ancienne patrie dont vous vous languissez ? »
« Les souvenirs, j'imagine. Je me demande ce que le jardin était, est et sera, ce que les pierres peuvent murmurer aux roses, si les fantômes hantent les allées. » Elle fit un geste à Varys pour qu'il la suive pour continuer la ballade. Elle l'observait du coin de l'œil, marcher tranquillement. La vérité était qu'elle savait peu de choses sur la vie de Varys ni sur ses convictions, il semblait en porter plusieurs, ses loyautés étant comme des masques qu'il se plaisait à mettre selon qui lui parlait et comment il pouvait extraire une information. Elle l'avait vu à l'œuvre avec d'autres nobles à la Cour les jours précédents, comment son sourire changeait subtilement, sa marche même semblait dissimuler des secrets. Elle jeta de nouveau un regard à la mer, à Dorne qui lui manquait déjà terriblement. Port-Réal n'était pas un lieu pour les Dorniens, la sentence était connue de tous et pourtant, elle s'évertuait d'être présente ici pour Edric, pour sa famille. C'était les Dayne qui étaient le moteur de son coeur.
Elle s'arrêta un instant à l'extrémité du jardin, là où elle pouvait le mieux sentir la mer et le vent pousser ses cheveux derrière son épaule. L'endroit qui lui donnait le plus l'impression d'être de retour chez elle. Elle se tourna de nouveau vers Varys « Si ce n'est pas la paix que vous recherchez, pourquoi être ici ? Est-ce votre ancienne patrie dont vous vous languissez ? »
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@Allyria Dayne, An 298 - Lune 4 - Semaine 1 - Jour 3
L’araignée est attentive. Elle écoute, sourire plus ou moins factif aux lèvres. Varys est intrigué par la tournure complexe des réflexions de la jeune femme. Il la sent ouverte à la discussion, une sensibilité intéressante. “Les souvenirs sont de puissants fantômes,” souffle-t-il doucement, et la suit d’un pas tranquille. “Mais ils peuvent se montrer capricieux. Certains y voient la beauté figée du passé, et d’autres les échos de trahisons anciennes.” En particulier dans un lieu comme celui dans lequel ils se trouvaient.
Il glissa un regard rapide vers Allyria alors qu'ils s'avançaient ensemble dans les méandres parfumés du jardin. Elle était jeune, mais pas forcément naïve. Jeunesse dornienne, pensait-il, belle et résistante, mais trop consciente des épines qui l’entouraient. Chaque mot qu'elle prononçait semblait pesé, chaque geste contrôlé, et pourtant, Varys sentait un souffle de nostalgie dans son regard. Il était plutôt insensible à cette forme de mélancolie. Lui aussi, à sa manière, vivait entouré de souvenirs, mais ceux-ci n’étaient ni des roses ni des jardins fleuris. Des souvenirs ne lui appartenant pas, des dires mémorisés, plus sombres, plus dangereux, au goût amer.
Il eut un sourire amusé à sa question. Etait-elle donc venue pour l’interroger ? Générlaement, c’était lui qui se chargeait de ce genre de tâche. Mais Varys pouvais jouer le jeu, ne serait-ce que l’espace d’un instant. “Oh, je n’ai pas de réel attachement à ma patrie, vous savez. Elle n’a jamais été un foyer à mes yeux. Ce qui m’en reste ne sont qu’un vague accent que peu savent discerner, et peut-être des souvenirs trop peu marquants. Non, ce qui me mène ici est plutôt le besoin de veiller.” Il s’approcha alors doucement d’un rosier aux fleurs pourpres, tendit la main, mais sans toucher les pétales, comme s’il respectait une certaine distance avec la beauté éphémère de la nature. “Vous parliez de fantômes. Peut-être que ce ne sont pas les âmes perdues des morts qui hantent ces allées, mais bien celles des vivants.” Il laisse sa voix s’adoucir. “Les vivants, eux, sont bien plus dangereux que les morts.”
Varys tourna lentement les yeux vers elle, le sourire toujours présent, mais ses paroles portaient un avertissement caché, une mise en garde sous-jacente. “Et vous, ma Lady, qu’attendez-vous de ce séjour à Port-Réal ? Vous avez quitté les Météores pour venir ici, dans une ville où chaque mot est une arme, où chaque geste peut vous mener vers une fin précipitée. Pourquoi donc ?”
Sa question n’était pas une simple curiosité. Il sondait, il cherchait à savoir si cette jeune femme, à l’apparence si douce et mélancolique, cachait quelque chose de plus profond, de plus ambitieux. Parce que dans les Sept Couronnes, tout le monde avait un but, même ceux qui prétendaient ne pas en avoir.
Il glissa un regard rapide vers Allyria alors qu'ils s'avançaient ensemble dans les méandres parfumés du jardin. Elle était jeune, mais pas forcément naïve. Jeunesse dornienne, pensait-il, belle et résistante, mais trop consciente des épines qui l’entouraient. Chaque mot qu'elle prononçait semblait pesé, chaque geste contrôlé, et pourtant, Varys sentait un souffle de nostalgie dans son regard. Il était plutôt insensible à cette forme de mélancolie. Lui aussi, à sa manière, vivait entouré de souvenirs, mais ceux-ci n’étaient ni des roses ni des jardins fleuris. Des souvenirs ne lui appartenant pas, des dires mémorisés, plus sombres, plus dangereux, au goût amer.
Il eut un sourire amusé à sa question. Etait-elle donc venue pour l’interroger ? Générlaement, c’était lui qui se chargeait de ce genre de tâche. Mais Varys pouvais jouer le jeu, ne serait-ce que l’espace d’un instant. “Oh, je n’ai pas de réel attachement à ma patrie, vous savez. Elle n’a jamais été un foyer à mes yeux. Ce qui m’en reste ne sont qu’un vague accent que peu savent discerner, et peut-être des souvenirs trop peu marquants. Non, ce qui me mène ici est plutôt le besoin de veiller.” Il s’approcha alors doucement d’un rosier aux fleurs pourpres, tendit la main, mais sans toucher les pétales, comme s’il respectait une certaine distance avec la beauté éphémère de la nature. “Vous parliez de fantômes. Peut-être que ce ne sont pas les âmes perdues des morts qui hantent ces allées, mais bien celles des vivants.” Il laisse sa voix s’adoucir. “Les vivants, eux, sont bien plus dangereux que les morts.”
Varys tourna lentement les yeux vers elle, le sourire toujours présent, mais ses paroles portaient un avertissement caché, une mise en garde sous-jacente. “Et vous, ma Lady, qu’attendez-vous de ce séjour à Port-Réal ? Vous avez quitté les Météores pour venir ici, dans une ville où chaque mot est une arme, où chaque geste peut vous mener vers une fin précipitée. Pourquoi donc ?”
Sa question n’était pas une simple curiosité. Il sondait, il cherchait à savoir si cette jeune femme, à l’apparence si douce et mélancolique, cachait quelque chose de plus profond, de plus ambitieux. Parce que dans les Sept Couronnes, tout le monde avait un but, même ceux qui prétendaient ne pas en avoir.
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